![]() Cette enquête révèle un paradoxe intéressant, à même d’interpeler les acteurs publics mais aussi, indirectement, les entreprises : si les grandes métropoles mondiales conservent leur attractivité auprès des étudiants, ces derniers sont massivement préoccupés par les enjeux environnementaux et sont en quête de lieux de vie où calme, espace et verdure sont préservés… Ce qui, à l’heure actuelle, n’est pas toujours le cas dans les villes de dimension mondiale. - Paris est la ville française rêvée de 15 % des étudiants, New-York et Londres les villes étrangères rêvées de respectivement 11 % et 9 % d’entre eux. - Mais 54 % pourraient refuser une offre d’emploi dans une ville si l’air y est de mauvaise qualité... - Et 76 % se montrent préoccupés par les pics de pollution de l’air. - A leurs yeux, une ville intelligente est davantage une ville durable (à 62%) qu’une ville ultra-connectée (à 19 %). |